Les enjeux pour les pays francophones

  • Chacun des pays partenaires – Belgique, France, Luxembourg – rencontre les mêmes problèmes en lien avec leur approche historique des « savoirs de base ou instructions de base » ancrée dans la formation initiale et cherche aujourd’hui à reconnaître les compétences de ces populations par des certifications professionnelles.
  • Un deuxième enjeu transnational concerne « la maîtrise de la langue française » comme langue de travail et de reconnaissance professionnelle qui considéré comme faisant partie des « savoirs de base », n’est pas calibré en tant que compétence transversale professionnelle.
  • Ces trois états ayant œuvré pour la reconnaissance des compétences clés, sans lien avec les certifications professionnelles, le projet RECTEC apporte une dimension fédératrice et de cohésion entre ces projets européens.
  • L’utilisation d’un référentiel commun à tous les acteurs de l’insertion professionnelle (orientation, évaluation, formation, certification)  avec l’élaboration et la validation de standards – paliers de compétences constitue l’enjeu majeur du projet.
  • La reconnaissance des compétences transversales, y compris partielles permet de construire une approche inclusive et valorisante.
  • Le fait de proposer des outils visibles et lisibles aux employeurs potentiels, calibrés et validés en fonction des réalités du monde professionnel, et en lien avec les certifications professionnelles facilite la verbalisation des compétences par les chercheurs d’emploi.